Par Espoir Botumba
Le train Électoral a déjà démarré en RDC et les différentes étapes évoquées dans le calendrier électoral publié par la CENI évolués jusqu’à présent comme prévues.
Si une certaine classe politique se réjouit de cette bonne volonté manifestée par la centrale électorale, du côté de l’opposition, plusieurs voix s’élèvent pour fustiger « un fichier corrompu et non consensuel » et prévient un boycott de ces scrutins.
Le dernier en date est Martin Fayulu qui au cours d’une interview accordée à la presse annonce que son parti ne va pas déposer les candidatures à tous les niveaux pour les élections 2023, « tant que le fichier électoral ne sera pas refait dans la transparence et audité par un cabinet neutre ». A-t-il dit.
En cette matière, l’UDPS, aujourd’hui au pouvoir a déjà créé une jurisprudence en se retirant des élections en 2006, quand l’ancien président Joseph Kabila s’apprêtait à briguer son premier mandat.