Dans une conférence de presse tenue le vendredi dernier à Kinshasa , les responsables de la Sicomines ont appelé l’opinion et les professionnels des médias de se fier aux éléments de l’ACGT dans l’affaire du contrat Chinois.
« La SICOMINES s’occupe tout simplement du financement des travaux, l’ACGT qui surveille et organise les travaux est mieux placée pour répondre aux accusations de surfacturation », ont-ils dit.
L’Ambassadeur de Chine en RDC, Zhu Jing, a, au cours de cette même conférence de presse, fait allusion à l’hôpital du Cinquantenaire, concernant la question de « surfacturation », estimant que les équipements de cette infrastructure doivent coûter énormément en termes d’argent.
« Les travaux de construction de chaque projet ne relèvent pas le même coût, il faut tenir compte des difficultés rencontrées sur terrains avant d’arriver à l’exécution de l’édifice. Il faut prendre tous ces éléments en comparaison pour tirer les choses au clair. Un hôpital de même envergure avec des équipements différents doit nécessairement conduire à des facturations très différentes. L’hôpital du cinquantenaire est l’un de mieux équipé du Congo. Les équipements médicaux coûtent trop cher « , a estimé M. Zhu Jing.