Tout part d’une vidéo devenue virale sur le réseaux sociaux du député national Daniel Safu qui affirme la nationale sénégalaise à Jules Alengete Key, patron de l’inspection Générale des Finances. Ce dernier n’a pas attendu longtemps pour recadrer l’élu de lukunga qualifiant ainsi sa réflexion de mensongère.
Cette déclaration de Daniel Safu ne cesse d’enregistrer des opinions contraires. La dernière en date est celle de la génération consciente de maïndombe qui lors d’une déclaration rendue publique ce lundi 27 mars 2023, dont OPULENCES.INFO a consulté une copie, dit avoir déposé une plainte à la cour de cassation contre le porte parole de Moïse katumbi.
« Pour rappel ce député qui ne s’évertue que par des antivaleurs, JULES ALINGETE KEY est fils de papa KEY MUSHENIE PHILIPPE, qui nous a quitté en 2010 et de maman MPUTU BONGILA Marie qui est toujours en vie. Et est, de par ses parents tous deux congolais de père et de mère, originaire du village de BENDELA, dans le territoire de KUTU, dans la province du MAINDOMBE et est membre de la famille coutumière MUSHENIE du village de BENDELA.
N’y était sa croyance chrétienne, aujourd’hui Jules ALINGETE serait l’un des chefs coutumiers de notre grande province.
De ce qui précède, on comprend mieux que Monsieur SAFU Daniel qui est en réalité mercenaire de certaines officines non congolaises, se trouve en mauvaise posture, lui et ses parrains, par le travail sage, avisé et patriotique que réalise JULES ALINGETE KEY comme super flic
financier mais aussi chevalier d’honneur de la lutte contre la corruption initiée par le Chef de l’Etat son Excellence FELIX TSHISEKEDI.
Nous avons donc décidé, pour mettre fin à la carrière injurieuse de ce député qui ne mérite plus la confiance du peuple, d’adresser une lettre à l’auguste plénière de l’assemblée nationale et au bureau afin d’obtenir la révocation ou la radiation de ce député qui fait la honte de l’Hémicycle« . Peut-on lire dans le communiqué.
Ce sujet s’invite au débat, après que l’assemblée nationale n’aie accepté d’examiner la proposition de loi de Noël Tshiani qui réserve l’accès à certains postes aux congolais nés de père et de mère.